Comme son plan de charge se situe, pour une grosse moitié de ses opérations, en monument historique protégé, l’Oppic travaille avec de nombreux architectes en chef des monuments historiques (ACMH) qui sont règlementairement compétents pour les travaux de restauration dans ces monuments.
L’Oppic travaille ainsi avec les trois quarts des ACMH aujourd’hui en activité. En parallèle, l’Oppic travaille avec de nombreux architectes issus de procédures de sélection de la loi de maîtrise d’ouvrage publique (loi MOP), soit sur des sites non protégés, soit dans le cadre d’une double maîtrise d’œuvre les associant, le cas échéant, aux ACMH.